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Pour toutes les aiguilles
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18 avril 2016

Le souvenir

 

Source: Externe

“Dans ma famille, on se tuait de mère en fille.” Dès son amorce, les souvenirs de disparitions hantent l’épopée intime de Nicole LapierreSauve qui peut la vie. Se présentant comme un récit explorant les strates enfouies d’une matière biographique lourde à porter – fille d’un Juif immigré ayant survécu aux persécutions, suicides de sa sœur, en 1982, puis de sa mère, en 1990 –, Sauve qui peut la vie s’éloigne subtilement de l’exercice d’introspection pure et mûre pour tendre vers une réflexion plus ample."

 

Nicole (Colombe) Lapierre replace l'histoire de sa famille dans le phénomène migratoire des juifs d'Europe centrale mais de toutes les émigrations. Ce qu'elle nomme l'héroïsme des immigrés.

Elle y aborde << la mort volontaire >> & non le suicide,d'un point de vue plus anthropologique & sociologique que psychiatrique; elle me donne (presque) envie de relire Durkeim !

 

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Je venais justement de lire ce numéro de l'Histoire, très éclairant sur la place des Askhénazes en Pologne.

 

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Commentaires
R
oui il faudrait relire souvent cette histoire pour comprendre....
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